La finale du Concours de jazz de l’Université Laval s’est tenue le vendredi 4 octobre au Théâtre de la cité universitaire. Quatre musiciens provenant de trois universités étaient en lice pour l’un ou l’autre des trois prix décernés par le jury. Parmi eux, deux étudiants saxophonistes de la Faculté de musique de l’Université Laval: Guillaume Tremblay et Aaron Wolf. L’un est inscrit à la maîtrise en composition, l’autre est au doctorat en interprétation jazz.

Au-delà des prestations d’artistes émergents, ce festival avait également une visée scientifique, notamment avec l’emploi de l’application mobile Affinity Globe, qui a pris le pouls des festivaliers en temps réel. 

Le concours de jazz de l’Université Laval a été créé en 2014 par l’excellent pianiste et professeur agrégé Rafael Zaldivar. La compétition avait d’abord été mise en place afin de «  valoriser l’expertise en interprétation et en création de tradition jazz au sein de la Faculté de musique de l’Université Laval ». Aujourd’hui, la compétition attire pour les interprètes-créateurs de l’entier milieu académique québécois qui fournit un espace unique d’échanges entre les étudiants universitaires et collégiaux. 

La Faculté de musique pilote trois projets transformateurs pour faire vibrer l'Université Laval et former les étudiants jusqu'en août.

Publiée par la Faculté de musique de l’Université Laval, la revue Recherche en éducation musicale célèbre, conjointement avec le Journal de Recherche en Éducation Musicale (IREMUS — Lettres Sorbonne Université) créé il y a vingt ans, ses quarante ans d’existence.

François Rioux, professeur à la Faculté de musique, sera l'un des invités de la série Christian Morissette Jazz le 6 mars prochain à 14h au Centre d’Art La Chapelle.

Fin septembre à Boston, le professeur de jazz a donné deux classes de maître au Berklee College of Music, un établissement renommé.
«Pour moi, soutient-il, la musique n’est pas une option. C’est la seule option dans ma vie.»

«C’est une histoire d’amour, mais surtout, très joyeuse.

C’est «parce que les effets bénéfiques de la musique sur le développement et l’apprentissage n’est plus à prouver» que la Fondation Sandra et Alain Bouchard a choisi d’investir dans le projet l’Université des jeux(nes), explique Sandra Chartrand. (Le Soleil)

«C’est un circuit qui nous amène ailleurs cette année; qui nous amène dans le temps!» lance en entrevue Richard Paré, professeur à la Faculté de musique de l’Université Laval et directeur artistique de cette 7e édition. Pendant 1h30, les spectateurs pourront découvrir l’évolution de l’orgue au fil des âges, à travers toutes ses facettes.

En diffusion Web, le 26 septembre 2021, à 15h